Quand j'y pense
Je ne l'ai pas oublié, je n'arrive pas à l'oublier, il est toujours le centre de ma vie.
Quand j'y repense, quand je pense à ses mots, à lui et moi dans le vent, lui avec sa veste de jogging, moi les cheveux détachés, ses yeux rivés aux miens, et les coups de couteaux, un par un, qui me coupent le souffle à chaque fois...
Quand je pense à nos journées pleines de promesses, nos entrevues, nos délires...quand je pense qu'il n'y a peut être plus de place dans sa vie pour moi, quand je pense qu'il me manque, encore toujours, qu'il me brûle, encore, toujours, que je l'aime, encore, toujours.
Quand j'y pense. Parce qu'il y a des moments où j'éclipsse son image, assez souvent, et au lycée, je transforme chaque coup au coeur à ses apparition en joie de le voir, de contempler sa manière de se tenir, ses mèches fines de cheveux, ses yeux qui m'effleurent, et toujours leur couleur indeffinissable, son bouc et ses lèvres fines.
Quand j'y pense, j'en ai les larmes aux yeux et le visage qui se décompose, et il y a quelque chose en moi, quand tout souris à l'extérieur, qui ne veut pas sourire. Qui est comme mort, engourdi, qui ne veux pas se réveiller. Un côté de moi qui me tire vers le fond, un côté qui veut se laisser mourir, dépérir sous ses yeux.
Quand j'y pense, il y a ce côté dans lequel je veux m'engouffrer, l'envie malsaine de me laisser aller, qu'il voit combien il m'a fait mal...envie stupide puisque qu'on ne peux reprocher à quelqu'un de ne pas vous aimer.
Quand j'y pense, je me dis que tout ce que j'ai pu prendr epour des sous entendus, des preuves d'interêt affectives, n'étaient peut être que des démonstrations de sa gentillesse débordante.
Quand j'y pense, ça me tord, je tremble.
Je n'ai jamais mis aussi longtemps à me remettre, et je ne vois pas le bout...
Quand j'y pense, j'essaye de ne pas y penser.
Et "Il y a ton sourire".
Quand j'y repense, quand je pense à ses mots, à lui et moi dans le vent, lui avec sa veste de jogging, moi les cheveux détachés, ses yeux rivés aux miens, et les coups de couteaux, un par un, qui me coupent le souffle à chaque fois...
Quand je pense à nos journées pleines de promesses, nos entrevues, nos délires...quand je pense qu'il n'y a peut être plus de place dans sa vie pour moi, quand je pense qu'il me manque, encore toujours, qu'il me brûle, encore, toujours, que je l'aime, encore, toujours.
Quand j'y pense. Parce qu'il y a des moments où j'éclipsse son image, assez souvent, et au lycée, je transforme chaque coup au coeur à ses apparition en joie de le voir, de contempler sa manière de se tenir, ses mèches fines de cheveux, ses yeux qui m'effleurent, et toujours leur couleur indeffinissable, son bouc et ses lèvres fines.
Quand j'y pense, j'en ai les larmes aux yeux et le visage qui se décompose, et il y a quelque chose en moi, quand tout souris à l'extérieur, qui ne veut pas sourire. Qui est comme mort, engourdi, qui ne veux pas se réveiller. Un côté de moi qui me tire vers le fond, un côté qui veut se laisser mourir, dépérir sous ses yeux.
Quand j'y pense, il y a ce côté dans lequel je veux m'engouffrer, l'envie malsaine de me laisser aller, qu'il voit combien il m'a fait mal...envie stupide puisque qu'on ne peux reprocher à quelqu'un de ne pas vous aimer.
Quand j'y pense, je me dis que tout ce que j'ai pu prendr epour des sous entendus, des preuves d'interêt affectives, n'étaient peut être que des démonstrations de sa gentillesse débordante.
Quand j'y pense, ça me tord, je tremble.
Je n'ai jamais mis aussi longtemps à me remettre, et je ne vois pas le bout...
Quand j'y pense, j'essaye de ne pas y penser.
Et "Il y a ton sourire".
Ecrit par Etolane-Lantrec, le Lundi 8 Novembre 2004, 20:35 dans la rubrique Vivre chaque seconde....
Commentaires :
Feu
Bizzzzzzz