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Oh, vous êtes là ? Il faut que je vous raconte!!

Mon après midi, détaillée, dans tous ses détails même les plus insignifiants (pour vous) et les plus importants (pour moi) mon après midi avec Lui, à qui je vais d'ailleur peut être donner un nom, parce que...parce que...parce que je veux lui en trouver un, un qui lui aille, et son nom sera Lucas, parce que je trouve qu'il lui sied très bien. C'est un prénom beau dans ses sonnorités, voluptueux dans une bouche de femme, chaleureux pour des pensées et aimable pour un coeur. Mon Ange, tu t'appelleras donc Lucas. Lucas, c'est en plus le héro d'un de mes livres cultes et le titre d'une de mes chansons préférées. Oui, Lucas, ça te vas bien. Ne nie pas, je te vois sourire. Et vous aussi, je vous vois sourire. Continuez, c'est beau un sourire, n'est ce pas, mon chéri ?

Il n'y a que moi pour me dire "si il était en retard la dernière fois, il le sera sûrement aujourd'hui" et arriver avec cinq minutes de retard, parce que je n'ai pas compté mon temps, que j'ai marché sans me presser, le nez au vent et "I Always Be Right There" dans les oreilles, la bouche vibrant au son des paroles. Je suis arrivée devant chez Brice, et je l'ai vu, pardon, j'ai vu Lucas, assis en m'attendant sur les marches. Il m'a vue avant que je ne le voie, je me suis avancée pendant qu'il avait le regard fixé sur moi. Il s'est levé à son tour et est venu à moi, nous nous sommes fait la bise, juste une bise, alors qu'en imaginant nos retrouvailles, je me voyaix lier mes mains autour de son cou, lui murmurer à l'oreille Ô combien il m'avait manqué, et ensuite, au feeling, soit lui faire la bise, soit l'embrasser à en perdre haleine.

Il m'a ensuite posé toutes sortes de questions sur mes vacances, ma vie, tout ce qui c'était passé...A vrai dire, tellement posé que je n'ai pas tellement plus toutes les lui retourner. Nous avons chacun décrit nos vacances, lui qui était dans une colo de fils de militaires, avec qui il a fondé un groupe, ""Heavy campagne", à côté de St-Trop où il a été faire un tour et où il a été étonné, ravi et dégoûté à la foi devant cet étalage de fric, de champagne, de Porsches, de Bentley, de Cadillac, par le coût des toilettes, lui même inabordable, par les brumisateurs (la clim à l'extérieur), moi, qui était dans mon trip "cheval passion", les touristes chiants, mon prof champion olympique, les gars, le sable, le soleil et la mer...

Nous sommes arrivés chez lui, il m'a présenté sa mère (qui lui a demandé texto : il faut que je parte de la salle a mangé pour vous laisser trnaquilles où vous allez dans ta chambre? J'aurais vu ma propre tête dans un miroir à ce moment là, je suis sûre que j'aurais bien ri.), sa soeur, puis nous sommes montés dans sa chambre, une chambre comme je les adore, papier peint bleu couvert de poster si bien que l'on n'en distingue plus les motifs, les trois guitares, une folk, une classique et une électrique dont deux appuyées au lit, les valises à peine défaites, le bureau croulant sous le bazar, l'eau de toilette "Tel Quel" sur l'étagère, la bibliothèque remplie de BD et de livres, CD et DVD, le lit confortable, son oreiller, et partout son odeur, son odeur si douce, si parfumée, si enivrante...

Nous nous sommes assis sur le lit, je lui ai montré les pauvres choses que j'arrivais à faire à la guitare et il m'a dit de ne pas m'inquièter, que les débuts étaient toujours très difficiles, et que dans quelques temps j'y arriverais bien mieux. Il m'a fait écouter les quelques morceaux qu'il a fait avec son groupe de colo, m'a demandé l'histoire que j'ai écrite, et quand j'ai dit "ah oui ton histoire!", il a corrigé "non, notre histoire", il a adoré le premier passage, quand je lui ai demandé si il avait quelque chose à lire en ce moment il m'a sorti "Où es-tu" de Marc Levy, en me disant "j'ai lu le premier", j'en aurais sauté de joie, je lui ai dit que c'était mon auteur préféré et que je lui prêterais le troisième quand il aurai fini celui là, il m'a fait lire ses chansons, et c'est définitif : j'adore ce qu'il écrit, il a un réél talent et une véritable suite dans les idées, il m'a montré ses photos de classe en Nouvelle Calédonie, avec les palmiers dans la cour et son petit air de jeunot avec les cheveux courts et des lunettes, petit gosse adorable, ses photos de classe de collège où j'avoue que sa coupe de cheveux n'était pas top, et je me disais que ça ne tenait qu'à ça que je le remarque, parce que je suis sûre que sans sa coupe actuelle je ne l'aurais jamais remarqué, mais je me suis gardée de le lui dire, je lui ai juste glissé un "maintenant que t'as trouvé la bonne, change pas!".

On a parlé de nos vies, des films que l'on adore l'un l'autre, d'un livre qui est sorti et qui s'appellait "c omment se suicider" et on est tombé d'accord en disant que si jamais sortait un livre appellé "comment tuer quelqun et être sûr qu'il y reste" nous l'achéterions tous les deux et l'utiliserions à bon essient, ensuite il a été quatres heures, il a eu leçon de conduite, puis m'a dit "de toutes façons ne t'inquiète pas, tu reviendra", c'est là que je lui ai dit que je partais, il a eu l'air effarré m'a dit "quand ?" j'ai dit "demain" "jusqu'à quand??" "Le 25", puis je lui ai dit que si il voulait on pouvait se voir ce soir, il m'a dit "je suis chez un copain" l'air de préférer s'arracher les yeux à ça, puis "mais demain, tu pars le matin ?" j'ai répondu oui, et il a dit "merde, on se reverra que le 25...". Puis il m'a proposé de me raccompagner chez moi en auto école, son mono à dit oui, il m'a enmené visiblement fier jusqu'à la voiture, je suis montée et lui aussi, il m'a dit qu'il était inquiet, j'ai posé mes mains sur ses épaules pour les lui tapoter maladroitement en disant "mais non mais non", nous sommes partis, il m'a déposé, et m'a dit "au 25, j'en ai peur", j'ai secoué la tête et je suis sortie de la voiture en lui faisant un signe.

Je n'oublierai pas ces moments où, dans l'auto école, on est resté les yeux dans les yeux pendant au moins une minute, sans bouger, ou lorsque nos regards se croisaient dans le rétroviseur, où nos coups d'oeuil lorsqu'il jouait de la guitare...Je l'aime, je t'aime Lucas. Est ce que c'est réciproque ? Peut être, peut être pas...mais qui le sait ?

Ecrit par Etolane-Lantrec, le Mardi 17 Août 2004, 19:49 dans la rubrique Vivre chaque seconde....

Commentaires :

Arctarus
Arctarus
23-08-04 à 13:26

rien a dire sauf que g veu en savoir plu la dessu donc jatten un coup de fil ou con se revoi sur le net pr en parler ..  et pi si c sur le net con se revoi va falloir que tu me raconter aussi ton aprem de jeudi prochain !!! ;) et oui car g pense pa con se verra avt puisque tu rentre mercredi et que jai des bleme de pc .. donc voila ..

 
Samhradh
Samhradh
23-08-04 à 22:45

:'(

qd g liu ça (je c pa ce ki ma pris, ame hyper sensible peut etre, ou la chanson de fond) bref je vais pas y aller par 4 chemins (plutot 5) lol : j'ai chialé comme une gamine! sa faisait longtemps ke javais pas pleuré d'émotion et de tendresse

ma puce... je t'aime...

(je rétabli le bon article ^^)


 
Arctarus
Arctarus
24-08-04 à 12:26

Re: :'(

!!! lol !!!  (encor une foi !!! ;))