[...Paraît que le bonheur est à portée de main,
Alors on tend la main,
Et on se retrouve fou...
Quelqu'un m’a dit, Carla Bruni]
Les rêves nous font vivre, où nous détruisent ils plutôt ?
Moi...si je ne rêve pas, je ne vis plus qu’à moitié, mais si je rêve en entier, je ne vis qu’aux trois quart, car il restera toujours ce quart, ce quart d’inavoué et de rêves, écorchés ou patinés par la caresses incessante des pensées. Ils auront tous plus ou moins perdu leur pellicule brillante, perdu de leur nouveauté et de leur mystère, de leur apparence attirante.
Si je ne rêve pas, je n’ai pas envie d’avancer. Je n’ai pas de but, pas de secrets, pas d’envies, pas de combats à mener. Rien, rien de rien, je devrais me contenter d’exister.
Mais en même temps, pas de rêves, pas d’illusions, pas de désillusionnement, pas de chute libre, de dix étages minimum pour s’écraser au sol, mes espoirs en lambeaux étalés et dispersés autour de moi aux quatre vents. Pas de rêves, pas d’amour. Pour moi ça va de paire. Pourquoi ? Parce que l’amour est un doux rêve, voir une utopie même si j’y crois (enfin j’essaie, tant bien que mal).
[Tout le monde a des restes de rêves,
Et des coins de vies dévastés...
Tout le monde, Carla Bruni]
Ce qui devient problématique, c’est quand vos rêves et vos envies vous détruisent, parce que vous n’avez pas la force d’assumer la passion avec laquelle vous les nourrissez. Une grande partie de notre vie appartient à ce domaine, le rêve...même le mal se change en rêve, ou le rêve se change en mal...
Je me dis que je ne pourrais pas vivre sans lui, mais vu qu’il n’est pas là physiquement dans ma vie, pas à part entière, pas comme je voudrais qu’il le soit, je ne pourrais pas vivre sans mes espoirs de le voir, lui, ailleurs que dans mes rêves, ses bras autour de moi comme dans ceux-ci, et pas seulement sa joue contre la mienne comme dans la vraie vie. Alors le jour où il dira non, je pleurerais le point final d’une histoire qui n’aura jamais existé.
Profondément stupide.
[Rien ne sert de rêver
Mon amour tu sais,
On n'est plus des enfants (...)
No dream to have anymore in this world…
Peut être qu’on s’auto détruira toujours. S’auto détruire par les rêves...Livrés à nous-mêmes par ce monde trop grand, trop vaste...livrés à nous-mêmes car plus personne ne veut de nous, car plus personne est assez altruiste pour nous aider...
[La vérité te blesse,
Alors on utilise le mensonge pour te tuer.
T’y crois, tu t’fais enculer,
T’y crois pas, tu deviendras taré...
Que des mensonges, ReDrUm]
Et si c’était ça la vérité ? Et ci ce n’était...que des mensonges ?
Commentaires :
Re: ;-)
...c'est dingue, mais je n'avais jamais pensé à ça!! :)
t'as raison, c'est vraiment, vraiment pas bête du tout
gros bizoox à toi
Ann/
Re: Re: ;-)
loool! merci toi aussi, t mimi lol
je vais essayer, mais des fois, c'est assez dur qd même :( bouh
:)
bizoox!
tite-morgane
;-)